Hassan Ali Khan Vaziri (21/02/1890 – 26/11/1954), peintre et sculpteur iranien de style réaliste, a été, à l’Ecole des beaux-arts de Téhéran, l’un des premiers élèves du grand Maître de la peinture persane Kamalolmolk.

Hassan Ali Khan ainsi que les autres élèves de cette Ecole deviendront les premiers représentants de la peinture iranienne de style réaliste et naturaliste.

Durant cette période où la majorité des élèves de cette Ecole obéissaient aux règles de la tradition classique, la peinture de Hassan Ali Khan s’apparentait à l’impressionnisme, comme en témoigne l’un de ses tableaux intitulé « Le surveillant d’école ».

Hassan Ali Khan était issu d’une famille cultivée et moderne pour son époque puisque sa mère a été la première femme journaliste et la fondatrice de la première école primaire de filles. C’est elle qui allait encourager son fils, alors jeune diplômé de l’Ecole militaire, à s’inscrire à l’Ecole des beaux-Arts que venait de fonder le grand Maître Kamalolmolk. Parvenu relativement vite au terme de ses études académiques, il occupe alors le poste de proviseur de l’Ecole, où il commence à enseigner en tant que professeur. Puis, de 1933 à 1935, au titre de directeur adjoint de l’Ecole, il entreprend un voyage aux Etats-Unis et en Europe (France, Suisse, Grande-Bretagne, Allemagne et Russie) où il organise de nombreuses expositions destinées à faire connaître l’art persan.

Les critiques d’art, tout en y décelant une touche impressionniste, comparent alors ses oeuvres à celles des plus grands peintres, entre autres Da Vinci et Rembrandt.

De retour en Iran, il travaillera sans relâche pour donner un nouvel élan aux beaux-arts et à leur enseignement à l’Ecole supérieure des beaux-arts. Il organisera plusieurs expositions tout en préparant la publication de son ouvrage consacré au grand Kamalolmolk ainsi qu’un article relatif à la perspective en peinture, sans oublier sa détermination et sa persévérance à vouloir perpétuer et honorer le souvenir de son Maître tant admiré. Mais tous ses efforts se trouvèrent entravés par nombre d’obstacles que l’hostilité de nombreuses personnes ainsi que des instances au pouvoir allait dresser sur son chemin.

Hassan Ali Khan était issu d’une famille cultivée et moderne pour son époque puisque sa mère a été la première femme journaliste et la fondatrice de la première école primaire de filles. C’est elle qui allait encourager son fils, alors jeune diplômé de l’Ecole militaire, à s’inscrire à l’Ecole des beaux-Arts que venait de fonder le grand Maître Kamalolmolk. Parvenu relativement vite au terme de ses études académiques, il occupe alors le poste de proviseur de l’Ecole, où il commence à enseigner en tant que professeur. Puis, de 1933 à 1935, au titre de directeur adjoint de l’Ecole, il entreprend un voyage aux Etats-Unis et en Europe (France, Suisse, Grande-Bretagne, Allemagne et Russie) où il organise de nombreuses expositions destinées à faire connaître l’art persan.

Les critiques d’art, tout en y décelant une touche impressionniste, comparent alors ses oeuvres à celles des plus grands peintres, entre autres Da Vinci et Rembrandt.

De retour en Iran, il travaillera sans relâche pour donner un nouvel élan aux beaux-arts et à leur enseignement à l’Ecole supérieure des beaux-arts. Il organisera plusieurs expositions tout en préparant la publication de son ouvrage consacré au grand Kamalolmolk ainsi qu’un article relatif à la perspective en peinture, sans oublier sa détermination et sa persévérance à vouloir perpétuer et honorer le souvenir de son Maître tant admiré. Mais tous ses efforts se trouvèrent entravés par nombre d’obstacles que l’hostilité de nombreuses personnes ainsi que des instances au pouvoir allait dresser sur son chemin.